Plan réel de "cho curieux" de facebook :

Ce qui est particulièrement humiliant s'est de se faire dominer par un mec que l'on a déjà soumis. J'en avais l'envie depuis longtemps, cela me démangeait les fesses et la queue. J'ai pu le réaliser cette semaine avec un jeune mec, bien foutu, que j'avais maîtrisé et sodomisé il y a quelques temps déjà. Il aimait bien, de temps en temps, jouait au "coach" et faire mettre à quatre pattes un mec à la sortie de son taf pour le fesser à la main, à la baguette et au martinet avant de lui ouvrir le cul et le sauter.

A la pause déjeuner, je me suis présenté chez lui en costard-cravate, il m'a tout d'abord ordonner d'ouvrir la braguette de mon pantalon et m'a demandé de sortir ma queue comme si j'étais en train de pisser. Je n'en menais pas large, j'avais les mains sur la tête et ma bite était molle et retombait sur mon pantalon. Le "coach" l'a examiné avec sa badine, la pesant et la retournant comme un vulgaire asticot puis il m'a fait me retourner, les mains toujours sur la tête il m'a demandé de cambrer mes reins et j'ai alors senti la morsure de la baguette en bois cinglant mes fesses à travers mon pantalon. "Déshabille-toi, garde ton slip et penche toi main sur la cheminée, tête baissée et cul bien tendu." Je m'exécute. Je reçois de nouveau un coup brutal sur les fesses.

"Cambres les reins et tends ton cul ! Bien ! C'est comme cela que tu dois me présenter tes fesses : prêtes à recevoir les coups !" Il me baisse mon slip, écarte mes fesses pour examiner mon trou du cul puis il commence à me fesser à la main. Les fesses commencent à me chauffer, c'est humiliant mais la douleur est tout à fait supportable. "Bien tu es résistant, on va passer à la baguette, mets toi à quatre pattes et tends bien ton cul !" Je m'exécute. Je cambre les reins afin de présenter mes fesses à mon jeune maître. Je sens la baguette en bois se glisser dans la raie de mes fesses. Elle titille mon trou comme si elle voulait y rentrer. La baguette se retire et soudain elle me cingle la fesse droite puis la gauche puis la droite. Je compte dans ma tête : 1, 2, 3 .... Pour ne pas trop sentir la douleur cuissante, je me force à penser aux marins qui se faisaient fouetter devant leurs camarades attachés sur le pont d'un navire. Cela m'excite je commence à bander. ... 7, 8, 9, 10 ...

Les coups s'arrêtent. Le "coach" s'est assis sur le bord du lit. "Tu vas venir te placer devant moi, à genoux, en me tournant le dos. Bien. Maintenant tu places tes jambes de chaque côté sur mes genoux et tu t'appuies avec la tête et les mains sur le sol". Je me retrouve ainsi cul par dessus tête dans la position de la brouette. Je suis ridicule dans cette position humiliante. Les claques commencent à tomber sur mes fesses, de plus en plus vite, de plus en plus fort. "Bien ! Tu as maintenant le cul chaud comme je l'aime. Mets-toi à genoux". Il se place devant moi, il sort sa queue de son pantalon. "Suce ton maître et appliques-toi !". Je prends la bite dans ma bouche et la suce longuement. Je lèche aussi les couilles. J'ai son gland au fond de la gorge. Il m'appuie sur la tête pour que je sente bien qui est le maître.

 "C'est bon remets toi à quatre pattes et fais bien la chienne en tendant ton cul". Je m'exécute. Les reins cambrés, le cul tendu au maximum en attente de la pénétration. Il enduit ma raie de gel. Un doigt puis deux puis trois fouillent mon fion. Les doigts se retirent, je sens comme un vide dans mon cul, un vent frais dans ma raie. Puis c'est sa bite qui me pénétre. Il l'enfonce à fond sans se soucier de ma douleur. Je suis à quatre pattes et je me fais saillir par mon jeune maître tout excité de la raclée qu'il a donné à mes fesses. Il jouit, se retire. "Rhabille-toi et n'oublie pas de fermer la porte en sortant". Il passe dans une autre pièce sans un autre mot. Je prends mes affaires sur le sol, me rhabille vite fait, je sors et comme si de rien n'était je retourne au bureau, le costard-cravate parfait mais les fesses rouges, le fion plein de gel et un goût de bite dans la bouche.  

Chocurieux