Mercredi 8 novembre 3 08 /11 /Nov 19:47

Avec un ami, je passais quelques jours de vacances au Maroc. Nous étions déjà à la moitié de notre séjour. Nous assistions à une fantasia avec deux mecs arabes rencontrés dans le zouk quelques heures plus tôt : Khaled et Mourad. Les coups de feu tonnaient sans discontinuer. La fantasia battait son plein. Tout le monde avait les yeux tournés vers le centre de la place où se déroulait le spectacle. Khaled était avec moi, Mourad un peu plus loin avec mon pote Hugo. Khaled depuis plusieurs minutes profitait de la pression de la foule pour se coller dans mon dos. Je sentais régulièrement ses mains toucher mes fesses. Je n'ai pas eu le temps de réagir quand, d'un mouvement rapide, il m'a baissé le pantalon de jogging et mon slip juste sous les fesses. Complètement paniqué, j'ai sursauté. J'avais le cul à l'air au milieu de cette foule compacte qui me collait de toute part. C'était complètement dingue. Même si personne ne faisait attention à nous, on risquait d'être surpris. Les deux Arabes les plus proches de nous avaient certainement vu mon cul. Ils me regardaient maintenant avec intensité. Khaled m'a remonté le pantalon aussi précipitamment qu'il l'avait baissé. Le tout avait duré à peine quelques secondes. Je tremblais. "Ils aiment ton petit cul de céfran" me souffla Khaled dans l'oreille. Un des mecs s'est approché, a parlé à Khaled et l'autre a ajouté quelques mots. La discussion s'est engagée entre eux. Je ne savais pas de quoi ils parlaient. Mais je me doutais bien que je faisais partie de cette discussion. Au milieu de la place, les cavaliers se déchaînaient dans des joutes acrobatiques. Je regardais sans rien voir. "Ils veulent encore voir la marchandise" me souffla Khaled en posant ses mains sur mes fesses.
- "Non Khaled. S'il te plaît arrête. On risque de se faire prendre.
- On va encore leur monter tes petites fesses.
Khaled a de nouveau baissé l'arrière de mon pantalon. Cela a duré un peu plus longtemps que la fois précédente. Il a même écarté mes fesses avant de remonter le tissu. Les deux Arabes n'ont bien sur rien perdu du spectacle. Je tremblais de honte et aussi d'envie. Je n'arrivais plus à voir où étaient Hugo et Mourad. À nouveau je sentais des mains sur mes fesses, mais ce ne sont pas celles de Khaled. Un des mecs parle. "Il dit que tu as de très belles fesses" me traduit Khaled. Je me laisse caresser. Khaled leur parle à nouveau en arabe et je ne sais pas comment les autres peuvent comprendre ce qu'il leur dit vu le vacarme de la foule et des cavaliers. Je ne vois toujours pas Hugo et Mourad.; Khaled me parle à l'oreille. Ils ont envie de te niquer. Ils disent qu'avec tes cheveux longs et ton petit cul tout blanc, tu dois être un bon coup à tirer. Je frémis de peur et de confusion. Je ne veux pas de ce genre de truc. Mon coeur bat la chamade et je tremble. J'ai un mouvement de révolte. Pourtant je n'arrive pas à lui fdire non en face et c'est cela qui me trouble et me rend aussi passif. Nous nous regardons. Il sourit. "Je vais leur dire que je suis d'accord pour leur prêter ton cul".
- Non. Non Khaled. S'il te plaît.
- Ta gueule, fais ce que je te dis. Et puis d'abord pourquoi tu dis non tu aimes ça ! Non je ne veux pas. S'il te plaît. Ta gueule tu n'as rien à vouloir. Les deux autres attendent patiemment et je savais que la partie était perdue d'avance avec Khaled.

Pour lui, j'étais sa femme et je devais lui obéir. Pire, j'étais sa pute. La deuxième fois que nous nous sommes retrouvés seuls lui et moi dans notre chambre, il avait trouvé un slip de femme. Ce jour-là, il était de mauvais poil, agressif. Le geste brusque. Il a pris le slip dans sa main et l a serré de toutes ses forces. Qu'est que tu attends pour te foutre à poil ! Je me suis lentement déshabillé pour rester nu devant lui attendant son bon vouloir. Il m'a jeté le slip au visage. Il m'était impossible d'accepter ce qu'il me demandait et j'ai osé refuser. Il s'est jeté sur moi. J'ai essayé de résister, mais je ne faisais pas le poids. il m'a rapidement immobilisé sur le sol, face contre terre et le bras bloqué dans le dos. Je vais te faire obéir moi. Tu n'es qu'une petite pute qui mérite une bonne raclée.
Il m'a alors donné une fessée magistrale , il m'a assené une volée de claques sur les fesses. Il a continué jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. J'avais trop mal aux fesses.
- C'n'est pas fini le français. Il faut que tu le demandes poliment.
Les claques résonnaient durement sur ma peau rougie. Je me tortillais pour échapper aux battoirs qui tombaient à intervalles réguliers. J'ai supplié. Je lui ai dit que je ferais tout ce qu'il voulait.
- La prochaine fois que tu me désobéis c'est avec le ceinturon que je te corrige. Enfile cette culotte de gonzesse. J'ai fais ce qu'il m a demandé, il m a ensuite demandé de m'allonger.
J'étais au sol, sur le ventre, le cul chauffé par les coups et offert. Il a sorti son chibre , a écarté un des pans de la culotte et a glissé sa queue par le côté entre mes fesses , il a commencé à me sodomiser ; je serrais les dents en sentant ma rondelle s'ouvrir avec son membre qui coulissait dans mon trou. À partir de ce jour je ne me suis plus rebellé j'ai exécuté toutes ses envies de plus en plus dominatrices et humiliantes.

Le spectacle de tous ses chevaux rassemblés sur la place était splendide. Mais je n'y faisais pas attention; allez viens suis moi ! Les deux autres Arabes nous ont emboîté le pas, un bon quart d'heure de marche dans les ruelles de la ville, c'est un des deux arabes qui nous guide. Arrivés à un immeuble dans un quartier que je ne connais pas. On me fait monter un escalier sombre. Khaled me fait passer devant. Un des mecs prononce de brèves paroles. en arabe Khaled rigole. "Il a dit qu'il n'a pas bien vu ton cul tout à l'heure. Tu vas faire ce qu'il te demande.

Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Images aléatoires

Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus