Samedi 21 octobre 6 21 /10 /Oct 17:48
J'avais répondu à son annonce. Je connaissais juste sa voix au téléphone et son visage sur une photo envoyée par email. Il était brun, belle gueule, les yeux très noirs, typé sud-ouest ou méditerranéen, la trentaine. Mon dressage commençait ce soir. A part un trip "baise-bandeau sur les yeux-les mains attachées dans le dos" avec un inconnu, c'était la première fois que je me soumettais ainsi à la volonté d'un autre.
Il m'avait donné le nom de la station ou je devais me rendre juste avant 23h00. Après 23h la ligne était fermée pour travaux. Je devais me mettre dans un des couloirs inutilisés de la station dont l'accès était fermé par une simple chaîne et l'attendre. Il n'y avait rien à craindre m'avait-il dit : " c'est un coin désaffecté. Je vais pouvoir m'occuper de ton dressage de salope toute la nuit jusqu'à la réouverture à 5h00 du mat ! "
En jean et t-shirt je devais l'attendre. "Sans slip sous le fût, à quatre pattes, les yeux baissés et le cul graissé et je ne veux pas entendre un mot si ce n'est tes gémissements de chienne".
22h55, j'arrive à la station, je descend l'escalier, je mets mon ticket dans l'appareil. Je passe vite le portillon et me voilà sur le quai. Il n'y a que quatre ou cinq personnes, des hommes; qui attendent la dernière rame. Peut être mon maître est-il un de ceux-là. ?
Je vais jusqu'au bout du quai, personne ne me prête attention. Voilà le couloir désaffecté, un bref regard circulaire et je passe au dessus de la chaîne qui barre le passage. Me voilà à l'abri des regards. Debout, dans un recoin sombre, la seule lumière vient du quai. J'entends le bruit de roulement du dernier métro. Les portes s'ouvrent. Brève sonnerie. Les portes claquent. La rame redémarre. Me voilà vraiment seul maintenant. Je pressens que la haut on a déjà fermé les grilles.
Je dois me dépêcher. Je dois être prêt comme il me l'a demandé. Je sors de ma poche de jean un tube de gel. Je baisse mon froc, je le laisse tomber sur mes chaussures. J'ai les fesses et la queue à l'air comme un gamin pris en faute.
Je mets du gel sur le bout des doigts. Je m'enfonce un premier doigt dans le cul; puis un deuxième. Je remets une couche de gel. Je me graisse vraiment le cul là. C'est du "hot". Je le sens qui me chauffe l'intérieur. Mon trou connait cette sensation. Il sait que cette impression de vide et de chaleur précéde la pénétration d'une bonne bite. C'est lui qui me force à faire tout cela. A ces moments là je ne suis plus qu'un trou à remplir. Mais ce soir c'est différent je vais offrir mon cul, ma bouche, mais aautre chose aussi. Je vais m'oublier et obéir à la volonté d'un autre. La crainte commence à monter en moi. Mais je ne peux plus reculer. La lumière du quai vient de s'éteindre. Je suis dans le noir complet. Le cul graissé et le fût sur les chausettes !
J'ai froid, je tremble de la tête au pied. J'entends un pas qui se rapproche. Un faisceau de lumière.
Une lampe torche. J'essaye de deviner une silhouette mais d'un seul coup j'ai la lumière dans les yeux, je ne vois plus rien. "Baisse les yeux ! Je t'avais dit de m'attendre à quatre pattes comme une chienne obéissante que tu es ! à terre !"
Sans réfléchir j'obéis. Pris dans la lumière comme un insecte, je me retourne, je me plie en deux, les mains à terre, le cul offert.

"Ecarte bien ! Oui comme ça !" Avec son pied il me force à ouvrir au maximum les jambes mais mon pantalon baissé me bloque. "Putain ce cul que tu as !" Je sens qu'il dirige sa lampe au plus près de mes fesses. Je sens la chaleur dégagée par la lampe torche sur ma peau. "tu as la raie aussi poilue que la chatte d'une gonzesse" Une main glacée me pétris le cul. Un doigt glisse dans ma raie, cherche la fente et trouve. Sans hésitation, il enfonce son doigt et le retire aussitôt. "Tu t'es graissé le fion, tu as le cul propre, comme une bonne professionnelle, c'est bien."
"Le trou est chaud et humide." A la manière d'un garçon d'écurie il me flatte l'arrière-train comme si j'étais une jument en chaleur, prête à se faire saillir.
"La bouche maintenant : à genoux, les mains derrière le dos !" J'obéis. Il a posé sa lampe. Les yeux baissés je ne vois que le bas de ses jambes, il a un jean délavé et des tennis. Il se tient droit devant moi. Il me domine. "ouvre ta gueule petite larve" Une main derrière ma nuque; il me rentre de force cinq doigts dans la bouche et les écarte au maximum. J'ai l'impression que ma machoire est au maximum. "Bien un bon garage à bites que cette gueule là aussi !
Tu as vraiment des lèvres de suceuses ! Elle en a sucé combien ?
T'as commencé à sucer des queues à quel âge ?
Au collège t'étais la pipeuse attitrée des vestiaires de sport non ? Après le foot et avant les douches tu vidais les couilles de toute l'équipe je suis sûr !
" Il retire ses doigts de ma bouche et me plaque le visage sur la bosse de son entre-jambe."Tu la sens ma queue non ? Tu aimerais bien la voir hein ! la renifler avant de l'enfourner je suis sûr ! T'inquiétes ça va venir !"

(à suivre...)
Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes - Communauté : VIVRE TOUS SES FANTASMES
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Commentaires

j aurais aime etre a sa place grand trips et fantasme a assouvira plusieurs mecs moi le soumis dans lieux extrerieur a vous de voir...


 

commentaire n° :1 posté par : theo le: 23/10/2006 à 15h52

sympa, tout a fait le genre d'humilaition que je voudrais subir...


 

commentaire n° :2 posté par : lecheur78 le: 07/08/2007 à 18h53
mains derriere le dos ouvrir la bouche ,idem, c'est le genre d'humiliation qu'un soumis se doit de faire ,
commentaire n° :3 posté par : obeissantsoft le: 14/10/2007 à 07h57

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Commentaires

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