Mercredi 18 octobre 3 18 /10 /Oct 00:26

Enfin la vraie vie! Il était temps. J'avais 18 ans, je venais de réussir mon bac et mes parents m'avaient autorisé à partir en vacances avec un copain de mon âge. Pas très riche, c'était plutôt le plan camping. On partait avec une idée bien arrêtée de se faire le max de filles possibles.
Alexandre était plutôt mignon, bien bourge catho sportif ancien scout. Moi mes parents étaient boulangers - et bon, j'étais fier d'être son pote. Je sais que ça fait un peu «moi, mon papa il est» mais bon on se refait pas.
De mon coté j'étais plutôt mignon mais je ne le savais pas vraiment : 1m81, 70kg, cheveux blonds courts, yeux verts. Je me fringuais surtout en fringues de sport et avais claqué un peu de mes économies pour m'offrir bermuda et polo comme Alexandre.

Alexandre, lui n'était évidemment plus puceau - moi j'avais juste embrassé une fille, pas vraiment belle.
Il faisait beau, un matin d'août nous avons débarqué du train de nuit dans une petite gare loin de tout. Cela sentait bon la station balnéaire. On avait décidé de vivre chacun de notre côté, le but de notre alliance étant plus d'échapper aux parents que de se coller le train. Enfin, pendant la première semaine, j'ai bien essayé de coller au train d'Alexandre. Mais bars branchés, discothèques, restaux, ça te ruine assez vite.
Après avoir admiré Alexandre draguer tout ce qui bouge, et revenir le matin vers 9h après avoir baisé la fille qu'il avait dragué, lui avoir fait son petit dej - j'étais sans le sous. Je l'ai donc laissé sortir seul juste avant la ruine totale.
Bien sûr on dormait dans la même tente et cette promiscuité forcée avait éveillé chez moi des envies à me faire triquer comme un âne. Il s'affalait tard le soir à côté de moi, puant l'alcool, la sueur et parfois le parfum de la fille qu'il avait baisé. Parfois il ne prenait pas le temps de se dessaper, souvent il se mettait en calcif, une fois il est resté à poil, sur le dos: endormi, il avait la trique, sa queue me donnait envie, un soir j'ai même osé la toucher. Il ne s'est rendu compte de rien. Du moins je crois.


La deuxième semaine de vacances au camping était pour moi pleine d'ennui. Le soir je traînais dans la rue en sachant trop bien que tout était trop cher. Alexandre dépensait et s'amusait.
Il était déjà tard, j'étais assis dans un coin sombre d'une cafétéria, à attendre je sais pas trop quoi. Il y avait un jeune serveur, à peine 20 ans, beur, en pantalon noir, chemise blanche, qui allait et venait. Je le regardais avec insistance et il s'en était rendu compte. La cafétéria allait bientôt fermer. Je sortis et sans savoir pourquoi je me mis à attendre dans la cour arrière de la cafét, dans la pénombre, assis sur des cageots.
Soudain, la porte de service s'ouvrit, il faisait sombre et le jeune serveur beur me rentra presque dedans.
- Pardon, excuse, ça va ?
- Ouaih t'inquiètes, pas de mal.
- Ben tu fais quoi là à attendre dans le noir ?
- rien, je glande.
- Moi c'est Kader, toi?
- Moi Loic.
Et là, je sais pas pourquoi, son sourire peut-être, mais je ne résistai pas au soulagement de tout lui dire:
- Oh tu sais, c'est galère, suis parti en vacance avec un pote friqué mais j'arrive pas à suivre, alors je traîne en attendant la fin des vacances.
- Tu veux boire un verre? (silence) OK je te l'offre. On va chez moi.
Et il me décoche un sourire que rétrospectivement je comprends mieux.
Me voilà à 2h du mat la tête plaquée sur le dos d'un arabe à l'arrière d'une moto fonçant vers les chantiers. On s'arrête en bas d'un immeuble genre HLM en moins bien. Il descend :
- Voilà !  C'est un foyer mais en été il est à moitié vide et il loge n'importe qui. He, Ça va?
Je devais faire une drôle de tête. Je force un peu mon sourire, je suis loin de mon camping, sans moyen de locomotion, ça doit se voir.
- Tu pourras dormir là si tu veux, c'est vide je te dis.
Il monte sans plus attendre, des couloirs un peu sordides, tout le monde dort. Il me fait passer dans sa piaule. Il y a deux lits superposés mais de fait, personne n'y dort et un seul lit est équipé de draps. Il ressort, revient avec une glacière, sort deux bières, ramasse un tabouret, les ouvrent et pose les deux cannettes dessus. Je m'assoie sur un lit sans rien dire.
- À ta santé!
On vide les deux canettes. Il a viré ses pompes et ouvert sa chemise laissant apparaître un torse imberbe athlétique mat de peau. Son odeur de mec se répand dans la pièce. Deux nouvelles cannettes. Il me fait parler d'Alexandre. On lui casse du sucre dessus. Encore deux canettes. Je baisse les yeux à terre, rougis. L'odeur de son intimité me fait suer de la raie comme une salope qui mouille, je me racle la gorge:
- Écoute je vais partir.
- À genoux putain et suce, t'en meurs d'envie!
Je ne sais pas pourquoi je l'ai fait mais lentement,  j'ai obéis et me suis mis à genoux devant lui, bouche ouverte au milieu de la piaule. Il me prend la tête et pose son gland sur mes lèvres. L'odeur de pisse qu'il exhale me fait presque jouir dans mon fut.
Je le lèche et réalise alors que j'avais toujours rêvé de faire cela avec la bite d'Alexandre. Il s'enfonce dans ma bouche lentement mais sûrement. Je lève les yeux. Il regarde le plafond et guide ma bouche en me tenant au menton et au front.

Il se retire, me fais lécher ses couilles, puis se réintroduit - là, je fais moins gaffe, laisse traîner mes dents. La réaction ne se fait pas attendre, il se retire d'un coup, me flanque une baffe.
- Eh pédé, c'est pas une brosse à dent, compris?
Je comprends à peine ce qui m'arrive, suis fatigué, un peu saoul, meurtri, les larmes me montent aux yeux. Son regard change, il se couche à coté de moi, m'embrasse sur le front doucement: - Pardon, désappe toi, on sera mieux.
Il se lève et se couche sur son lit. Je me lève à mon tour, me dénude devant lui, un peu honteux de ma bite de 15cm seulement qui se dresse toujours et le rejoins encore heureux qu'un tel mec m'accepte. Il s'allonge sur le dos, mains sous la nuque et ferme les yeux.
- Vas-y régale toi!
Sa bite est raide comme un piquet. Je l'engloutis. Il me tient la tête et me force à en prendre un peu plus à chaque fois, pénètre dans ma gorge, des larmes coulent de mes yeux, du sang de mes lèvres. Ses coups de bites se font de plus en plus brutaux, et là, je manque de vomir. Il se retire en me tirant par les cheveux.
- Putain tu fais chier...
J'ai de la bave plein le menton qui coule sur son lit.
- Oh merde salaud, quels crado ce mec!
Il me fait mettre sur le ventre sans ménagement et se couche sur moi, il prend un préservatif, je sens sa raideur dans ma raie. Là j'ai peur, je comprends et vais crier que déjà il m'enfonce son slibard pisseux dans la bouche, tient de l'autre main mes deux poignets dans mon dos et s'enfonce dans mon cul d'un grand coup de rein inexorablement lent.
Je sens mes entrailles s'écarter pour laisser passer son membre, je gueule et chiale de douleur comme un môme. Lui râle de plaisir à mon oreille, j'éjacule sur son lit tandis qu'il ressort pour s'enfoncer de nouveau. Un troisième aller-retour et je sens son corps dominateur jouir tandis qu'il crache sa semence planté au plus profond de moi.
Il retombe. Nous sommes couverts de sueur. Lui reste planté dans mon cul, satisfait de ma docilité.
- T'as aimé salope?
Il me retire le slip de la bouche. Heureux je lui répond:
- Oui Kader.
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à suivre... Kader va l'offrir à ses amis, il le travestit : rouge à lèvre, jupe, bas, sexe rasé...

Par Monluc - Publié dans : trips et fantasmes
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