Mercredi 25 juin 3 25 /06 /Juin 07:54
Plan réel de "Wadji"  :
Je m'appelle Wajdi, j'ai 26 ans, je suis étudiant et je fais beaucoup de sport. J'suis plutôt fougueux de nature. J'adore le sport pour le physique et pour le jeu. J'aime bien aussi qu'on m'admire et j'aime bien être leader. Je suis bi mais je préfère nettement les meufs. J'ai rencontré un keum, par le sport. Il a 32 ans, il s'appelle Manu. Il est super équilibré dans sa tête et il vit ses passions à fond, mais discrètement. Comme moi, il est bi et il m'a fait comprendre que je lui plaisais. Il me faisait des phrases provocs, genre : « tu fais le fier, mais j'suis sûr qu'on doit pouvoir te dominer ». Ca me faisait rigoler mais au fond ça me faisait bizarre. Surtout quand j'y repensais après. Je m'suis quelquefois branlé en pensant à lui et en pensant que je me soumettais à ses ordres. Ca me faisait drôle jusque dans le ventre. Je m'imaginais vivre l'inverse de ce que je suis en réel. Je sais que je suis trop macho, même ma meuf elle le dit. Autour de moi, et dans l'équipe, je suis un leader. J'aime bien que les choses aillent comme je veux. Et pourtant je me branlais en imaginant que ce mec arrivait à me mater. A force j'ai eu envie de tenter cela avec lui. Il a du commencer à le sentir et faisais de plus en plus de provocs et de propositions. Comme il avait l'air vraiment clair avec ça, ça me rassurait. J'avais confiance. Y a quinze jours, j'ai répondu à sa proposition de passer un moment chez lui. On s’est donné un rendez-vous pour le lendemain. J'ai flippé grave en pensant que j'allais y aller et en même temps ça m'excitait à donf. Je suis arrivé chez lui. Tout de suite je me suis rendu compte qu’on n'avait pas la même relation que d'habitude. Mais je sentais toujours la complicité et la confiance. Il m'a dit de me mettre torse nu. J'ai senti que je pouvais encore le prendre à la rigolade ou que je pouvais choisir de le faire. J'ai hésité, mais j'ai fait le pas et me suis foutu torse nu. J'ai obéis. Et là je suis passé dans autre chose. J'avais plus du tout envie de rigoler. J'ai baissé la tête et je sentais une putain d'émotion monter en moi. On est resté comme ça un moment sans parler. Il me regardait. Il me laissait le temps de savourer le fait d'être en train de me soumettre à ce qu'il avait voulu. Et moi il me montait une putain d'émotion, trop forte, qui me coupait le souffle. Je parlais plus. Il m'a dit de me mettre face au mur, à 50cm du mur. Il s'est approché et m'a palpé. Il était derrière. Les épaules, les bras, les pecs, les abdos. J'ai bandé direct. Il a palpé mes fesses par dessus le survêt, les cuisses. Il m'a dit de mettre les mains contre le mur. Je l'ai fait. Il a posé sa main sur ma teub pour découvrir que j'avais la trique. Je l'ai vu sourire. Il a d’un coup baissé mon survêt jusqu'aux chevilles. J'avais un slip blanc. Il m'a laissé comme ça un moment. J'avais la honte à fond et en même temps je triquais à mort. Je restais contre le mur à tenir la position. Il m'a à nouveau palpé. J'avais l'impression d'être un objet qu'on ausculte. Ca me faisait mouiller mon slip car ça durait longtemps. Il a ensuite baissé mon slip à mi-cuisse. Ca a libéré ma teub qui s'est dressée devant moi. Elle fait 20cm mais elle est fine. Et je bandais au maximum. J'avais l'impression d'être impuissant, sans volonté. Normalement, je suis super pudique. Même dans les douches, j'aime pas montrer ma teub. Et là je bandais et je pouvais pas le cacher. Au contraire, elle était super dressée et il la regardait. J'ai fermé les yeux. J'avais un fil de mouille qui commençait à pendre vers le sol. Et je sentais l'odeur de mon corps et de ma teub qui montait légèrement. Il m'a dit : « allez maintenant tu te désappes complètement ». J'ai viré mes skets, mes chaussettes, mon jog et mon slip que j’ai posé par terre. Lui il est resté complètement habillé. Il a inspecté mon slip qui était clean. Mais il a forcément trouvé deux ou trois gouttes d'urine et de la mouille. Il s'est approché, il m'a montré les taches d'urine et m'a demandé ce que c'était. J'ai répondu :

- C'est de la pisse.
- De la pisse à qui ?
- C'est la mienne. C'est ma pisse.
- Et ça ?
- C'est de la mouille?
- Ca t'a plu de t'exhiber comme ça?
- Faut croire.
- Remets-toi en position contre le mur.
Franchement, j'étais étonné d'obéir comme ça. Je ne me reconnaissais pas.

Il a plaqué mon slip entre mes lèvres. Comme j'ai pas voulu ouvrir ma bouche, il l'a essuyé contre mes dents. Il m'a laissé attendre dans la position. J'avais beau être à poil, j'avais peu à peu moins de gène. Je suis super bien dans mon corps et ça se sent. Je sais que je suis bien foutu. Je fais 1M76, 66kg, je suis mince mais musclé, et souple. Brun, cheveux courts, les yeux foncés, le torse imberbe sauf quelques poils sous le nombril. Il me matait et ça me rendait assez fier car je sentais qu'il appréciait.
J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu'à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j'étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d'écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas forcé.

Il m'a dit :  de toutes façons tu vas t'ouvrir,  je fais le pari qu'il suffit d'attendre.
Aucune de mes meufs n'a jamais vu mon trou du cul, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, c'était bizarre mais j'avais envie qu'il le regarde, qu’il l’ausculte. Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait.

Avec son pied, il a écarté les miens et mes jambes se sont écartées de 50 ou 60cm. J'étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. J'avais l'impression d'être un animal qu'on allait traire. Je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais s'était transformée en confiance. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone la plus intime de mon corps devenait très présente dans ma tête. Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il l’a lâché et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas.
Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j'étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d'avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c'était mon fion qui appelait le plus à ce qu’on s’occupe de lui. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je ne me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus de deux ou trois fois dans ma vie et c'était plus par curiosité que pour me branler.
Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frôlait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J'étais prêt à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses avec deux doigts. J'ai senti de l'air contre mon anus. J'étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j'étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir.
Il était très près de moi. Je sentais son souffle. « alors, tu vois ? Quand je te disais que je saurais te soumettre ». Je restais silencieux mais dans ma tête je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te laisserai tout voir ».

Il est parti chercher un objet, en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec une matraque en caoutchouc dur, longue. Elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C'était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation.

Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. Je n'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute je t'oblige pas à parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suces et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir dans le cul. Donc tu choisis ».

Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J'étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lécher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Je sentais bien que j'étais en train de me soumettre à cet objet. J’avais la bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal.
Il a posé le bout de la matraque sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que la matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m'écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C'était trop bon comment ça m'écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je ne crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15 cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j'étais bien. Comme rempli.
Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la dans mon cul». Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais avec au moins deux doigts. Il m'a dit : « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ».
Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée.
J'ai pu mettre mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil. Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré violemment dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque à sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C'était vraiment incroyable comment je me sentais remplis quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop, parce que c'est un expert du corps ce mec et il sait apparemment plein de trucs. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j'étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c'était possible.
J'ai trop jouis. Y en avait plein le mur. Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai réfléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d'être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J'étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet.
Quand il est revenu, il m'a regardé et il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai léché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant.
Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il ne me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J'étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui.
Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi. C'est pour ça que j'ai eu envie d'écrire ça ici. Wadji

Par sexgaymes - Publié dans : trips et fantasmes
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